Si elle touche en majeure partie les hommes, les femmes peuvent en être également atteintes, et la calvitie androgénétique féminine semble être en augmentation. Certains pointent, sans véritable preuves, un terrain dépressif et spasmophile, alors que la logique impose de rechercher un déséquilibre hormonal, même latent.
La survenue d’une alopécie androgénétique chez la femme impose un bilan clinique et para-clinique complet à la recherche d’un déséquilibre hormonal entre les hormones femelles et les hormones mâles au profit de ces dernières.